AVRIL 2/30
De nos peurs à Sa Paix
Christ a planté Sa paix en nous, parce qu’Il savait que c’était notre besoin le plus profond. Cependant, cette paix si précieuse est souvent empêchée d’éclairer notre être intérieur. Nos égoïsmes et notre orgueil, notre incrédulité et nos inquiétudes sont autant de barrières que nous entretenons, comme malgré nous. Alors, quand des conditions extérieures semblent menacer notre existence, la bataille pour maintenir un peu de paix au quotidien peut s’avérer bien insuffisante, au point qu’il devient difficile de différencier un enfant de Dieu d’un non croyant.
La guerre contre le coronavirus ! C’était sans doute la dernière expression à employer dans un pays traumatisé encore (comme une partie de l’Europe) par l’occupation nazie, ses restrictions de déplacements, les violences et les peurs entretenues, les pénuries de nourritures et de biens, la surveillance et les menaces permanentes, la crainte des délations et de la police française.
Ne sous-estimons pas la résonance en nous tous, et encore plus si nos familles sont de descendance juive ou huguenotes, à cause des persécutions récurrentes spécialement organisées contre eux, jusqu’à la mort. Il est donc urgent de « sortir » du bruit médiatique pour entrer dans la présence de Dieu.
Bénissons Dieu qui a pourvu à tous nos besoins (Col 2.10), spirituels, psychiques et matériels. Recevons Sa Paix. Si nous hésitons, ou « disputons » avec Dieu, faisons silence et entendons Sa voix jusqu’à la laisser pénétrer au fond de nos entrailles : « Le Seigneur est proche. Ne vous inquiétez de rien ; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées en Jésus-Christ » Ph 4.5-7
-
Actualité : quelle médecine pour soigner, et guérir ?
La véritable guerre ?… Une étrange bataille semble se mener en arrière-plan de l’épidémie. Car, s’il y a bien une guerre à nommer, c’est entre les hommes… comme toujours. Ainsi, en attendant un vaccin, la question reste « chloroquine ou pas chloroquine ?». Finalement peu importe les choses peu honorables que cache cette « guerre » mais, comme le répète un spécialiste français qui devient enfin audible et écouté, « en médecine ce qui compte c’est l’efficacité » pour guérir une maladie.
NB : un médecin Juif de New-York a expérimenté le traitement préconisé par le Professeur Raoult sur près de 1000 malades dans la communauté juive. La guérison est là ! Les USA devraient lancer le protocole à grande échelle. (Cf. ICI-1 et ICI-2, vidéos en anglais : ICI une vidéo en français).
Prions Dieu pour l’esprit de vie, alors qu’un combat semble engagé parmi les conseillers du président Macron : que l’esprit de mort soit vaincu à travers de justes décisions médicales.
Élevons le Nom de Jésus sur notre pays : « Merveilleux Conseiller… Prince de la Paix ». Esaïe 9.5
A demain, dans la joie de Lui appartenir !
